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samedi 2 août 2025

- Monsieur Klein le plus beau film de alain delon à mon gout

https://ok.ru/video/4044585437759 Monsieur Klein est un film franco-italien réalisé par Joseph Losey, sorti en 1976. Le film a notamment été produit par Alain Delon, également acteur principal. Le scénario a initialement été écrit par Costa-Gavras[1], puis achevé par Franco Solinas. Synopsis Numéro du 1er mai 1941 des Informations juives. C'est l'hiver 1942 à Paris, sous l'Occupation. Dans un hôpital, une femme nue et d’âge mûr subit passivement une humiliante visite médicale censée déceler des origines sémites cachées. Le rapport sera envoyé à la préfecture de police, ce qui n'augure rien de bon car les Juifs sont persécutés. En retrouvant son époux, qui s'est prêté à un examen analogue, elle affirme que tout s'est bien passé[a]. Indifférent à ce climat oppressant, le marchand d'art Robert Klein vit luxueusement dans un hôtel particulier au no 136 de la rue du Bac, avec sa maîtresse Jeanine. Dans une salle des ventes, il suit la mise aux enchères d'une tapisserie truffée de symboles occultes représentant un vautour. Il déconseille à une amie de l'acheter, pressentant qu'elle « porte malheur »[b]. Il achète aussi sans le moindre scrupule, à des Juifs aux abois pressés de fuir la France, des objets qu'ils cèdent à vil prix au terme d'âpres tractations. Il reconduit l'un d'eux sur le seuil, après lui avoir payé trois cents louis d'or — soit la moitié de sa valeur — le Portrait d'un gentilhomme hollandais peint par Adriaen van Ostade[2] (voir infra). En prenant congé, il découvre dans son courrier glissé sous la porte un exemplaire des Informations juives. Il comprend alors qu'un homonyme (voir infra), abonné à ce journal destiné aux israélites, lui a fait endosser son identité (voir infra). Or les membres de la communauté juive sont fichés en raison de leur prétendue origine raciale. Par une sorte de prémonition funeste, son client lui souhaite « bonne chance à vous, Monsieur Klein ». En cherchant à prouver qu'il n'est pas Juif, Robert Klein s'englue peu à peu dans un piège quasi kafkaïen. Il ne fait qu'attirer l'attention des autorités, muée en suspicion puis, bien vite, en conviction. Pour obtenir des certificats de catholicité, il rend visite à son père, qui vit à Strasbourg. Devenu infirme, celui-ci affirme avec emportement que, depuis Louis XIV, la famille Klein est française et catholique, avant de lui apprendre qu'il existe une branche hollandaise sur laquelle il refuse de s'étendre. Menant sa propre enquête, Robert remonte la piste de son homonyme, dont il découvre l'adresse inscrite sous la sienne, en grattant au rasoir la bande de routage des Informations juives. Insaisissable, cet homme mystérieux change régulièrement de domicile ; il entretient des liaisons féminines, entre autres avec une aristocrate évanescente et une compagne énigmatique prénommée « Isabelle », « Kathy » ou « Françoise », danseuse de revue puis ouvrière d'usine ; il roule en side-car et possède un berger allemand. Les recherches de l'affairiste le conduisent tour à tour : dans un logement sordide situé rue des Abbesses, qu'il visite à plusieurs reprises au prétexte de le louer pour un ami et dont il relève le numéro de téléphone ; dans un laboratoire photographique, où il obtient un cliché de l'homme à la moto avec son chien ; au château d'Ivry-la-Bataille (en fait le château d'Esclimont) habité par une fantomatique famille d'aristocrates ; dans les coulisses d'un cabaret donnant un spectacle antisémite[3],[4], qu'il quitte précipitamment sur les instances de Jeanine, offusquée[c] (sur la scène, une affiche du film de propagande nazie Le Juif Süss fait partie du décor — voir infra) ; des ateliers de la place Balard... Il découvre que l'autre Klein, un Résistant, joue de leur homonymie pour agir clandestinement. L'inconnu semble avoir été victime d'un attentat relaté par la presse. Robert se précipite à la morgue pour examiner le corps. La police poursuit le marchand d'art. Ses biens sont saisis. Par un étrange hasard, il recueille devant un kiosque à journaux un berger allemand abandonné. Craignant pour son propre sort, Klein cherche à gagner la Méditerranée par Marseille. Il est muni de faux papiers procurés par Pierre, un ami avocat qui l'a aussi aidé à vendre son hôtel particulier non sans s'enrichir à cette occasion d'un demi-million de francs. Dans le train, il s'adresse à une femme assise en face de lui. Il la prend pour Françoise, alias Kathy ou Isabelle, mais elle se nomme Nathalie. Elle connaît Robert (le Résistant), qui en fait n'a jamais quitté son logement de Montmartre, aidé de la concierge éprise de lui. Il rebrousse aussitôt chemin, souhaitant plus que jamais rencontrer celui dont il est victime mais qui le fascine. Il le joint au téléphone. Arrivé au rendez-vous, il assiste, embusqué, à l'arrestation du résistant, déclenchée par Pierre pour le protéger. Le lendemain, le marchand d'art est appréhendé à son tour, pendant une rafle évoquant celle du « Vél d'Hiv ». L'acte de baptême catholique d'une grand-mère, enfin arrivé d'Alger, peut le sauver in extremis. Parmi d'autres noms à consonance juive, les haut-parleurs du stade, temporairement converti en camp de transit, appellent « Robert Klein ». Un homme vu de dos lève le bras puis disparaît dans un souterrain. Une foule l'entraîne vers un quai de gare. L'affairiste lui emboîte le pas, en affirmant à Pierre qu'il va revenir. Déportés conjointement, les deux Robert Klein ne se seront jamais rencontrés. Dans le wagon qui les conduit vers une mort probable, derrière le marchand d'art sans scrupule apparaît le visage grave de l'homme qui lui avait cédé le tableau de van Ostade. Leur tractation du début résonne de nouveau.

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